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il y a 5 ans
L’histoire érotique d’une étudiante qui couche avec son employeur
L’an passé, pour payer mes études de lettres, j’ai été femme de ménage chez un couple de vieux bourgeois. Le salaire était bon et ça me laissait du temps pour réviser mes partiels.
Charles, le mari du couple, devait avoir 65 ans. Sa femme, Esther, était à peine plus jeune. Et autant lui, avait de beaux restes, autant elle, faisait mégère desséchée. Pourtant, elle a réussi à se trouver un amant. C’est ce que m’a appris Charles, la voix tremblante un samedi après-midi.
J’étais en train de nettoyer son bureau, vêtue de l’uniforme moche que l’on m’obligeait à porter quand je travaillais là-bas. Il ressemblait vraiment à un costume sexy d’Halloween… Mais ça faisait plaisir à Monsieur, qui me reluquait quand je me penchais pour faire la poussière. Sauf que ce jour-là, pas de reluquage, mais un Charles au bout du rouleau.
Pourquoi m’a-t-il tout déballé ? Je ne sais pas. Sans doute étais-je la seule à qui il pouvait se confier sans risquer le déshonneur. Après s’être affalé dans un fauteuil, il m’a lancé : « Carole, c’est terrible. Esther a laissé son portable dans sa chambre et j’ai fouillé dedans. Elle voit quelqu’un, il lui envoie des messages dégoutants ». Soufflée par cet aveu, j’ai bafouillé que peut-être, il se trompait. Que c’était un jeu par SMS, sans doute rien de plus… Charles s’est énervé et a pressé l’écran. Un déluge de sextos s’est alors abattu sur moi.
« Je te veux, mon Esther, ton con velouté me manque ». « Voudras-tu boire à la source de mon désir, mon adorée ? » « Je me branle en pensant à ton corps, reviens-moi vite ! ». J’ai fermé les yeux pendant que Charles lisait, imaginant cette vieille peau en train de se faire astiquer son « con velouté ». Beurk. Charles, lui, tremblait de rage.
J’avais l’impression d’être coincée dans un mauvais Vaudeville mais j’ai pris sur moi et je me suis approchée de mon patron. Doucement, je lui ai mis la main sur l’épaule et je me suis accroupie au pied de son fauteuil. Ses yeux bleus glaciers se sont posés sur moi. J’ai réalisé à quel point il avait dû être beau dans sa jeunesse. Un mix entre Jean d’Ormesson et un acteur américain des années 40. Lentement, j’ai senti son visage s’approcher du mien… Quand il m’a embrassée, je l’ai laissé faire, touchée par son chagrin. Le contact était ferme, précis. Rien à voir avec un baiser de petit vieux, mais une forme d’assurance que je n’avais jamais ressentie avec d’autres hommes. Charles savait y faire, il était riche et j’étais son employée. L’arrogance de classe se sentait donc aussi dans l’intimité…
Toute à ma réflexion sociologique, je n’ai pas remarqué que mon boss était passé à l’action. Ses mains étaient maintenant à la recherche de mes seins. Il faut dire qu’il y a un sacré morceau : un beau 95D bien ferme. J’ai aidé Charles en ouvrant mon uniforme. Après tout, si mes poires parvenaient à lui remonter le moral… Il ne s’est pas fait prier et a saisi l’une d’elle pour la porter à sa bouche.
Avais-je envie de coucher avec un vieux ? Plutôt. Je n’avais jamais tenté le coup et l’idée me faisait rire. Et puis la bouche experte de Charles, qui maintenant passait d’un téton a un autre avec dextérité, me donnait envie. Alors nous sommes allés dans sa chambre. Là, mon patron s’est simplement assis sur une chaise et m’a ordonné d’une voix ferme de me déshabiller. Sa confiance en lui m’a électrisée.
Un à un, j’ai ôté mes vêtements, jusqu’à ma culotte en l’envoyant valser aux pieds de Charles. Il l’a ramassée et l’a portée à son nez en me regardant. Puis tout doucement, il a dardé sa langue…. et a léché la tâche qui s’était formée dessus. J’étais si excitée par la scène que je me suis assise sur son lit, cuisses ouvertes, et j’ai commencé à me toucher.
« C’est bien Carole. Maintenant, doigtez-vous. » Le fait qu’il me vouvoie m’enchantait. J’avais l’impression d’être une esclave sexuelle prisonnière d’un vieux baron, comme dans les livres du Marquis de Sade ! Le meilleur moyen de faire décoller l’étudiante en lettres que je suis… Je me suis exécutée. Mon index entrait et sortait maintenant avec rapidité de ma fente. Le couvre-lit râpeux rajoutait à mon plaisir et je me frottais dessus pour faire gonfler mes lèvres.
Charles avait sorti sa bite, courte mais d’une belle épaisseur, et se masturbait en me fixant intensément. Je me suis ensuite mise à quatre pattes sur le lit et lui ai offert ma croupe. En écartant bien les jambes, je lui offrais en plus une vue dégagée sur mes melons. Je l’ai entendu gémir et j’en ai profité pour continuer ma branlette.
Après m’être léché le majeur, j’ai entrepris de me le rentrer dans le cul. Détail excitant, en face de moi, le miroir de l’armoire reflétait la scène : mes gros nichons qui gigotaient, mon visage rouge de plaisir et plus loin, mon doigt qui disparaissait dans mon anus. Enfin, derrière moi, je voyais Charles qui tirait sur son manche, les yeux brillants.
Quand le vieux s’est approché de moi, j’ai cru qu’il allait me prendre par derrière. Mais très doucement, il m’a simplement mise en position pour que je le pompe. Sa peau était étonnamment douce, comme du parchemin. Sa main, par contre, était ferme. Il m’a forcée à l’engloutir. Sa voix m’a également guidée : « Sucez, Carole, jusqu’à ce qu’il me reste plus une goutte. Allez, enroulez votre langue, et n’hésitez pas à me branler en même temps ». J’ai obtempéré.
Soudain, Charles m’a écartée d’un coup. J’ai roulé sur le dos et il s’est placé à califourchon au-dessus de moi. Il allait se finir, alors j’ai fermé les yeux. Un flot de sperme s’est répandu sur mon visage et mes seins. Mon patron m’avait souillée comme la dernière des cochonnes.
Tout en m’essuyant avec le drap, il m’a congédiée. Une semaine après, j’ai reçu une lettre pour me dire que je n’étais plus employée chez lui mais qu’il avait donné mon numéro à un couple d’amis proches. Je dois commencer à bosser chez eux à la rentrée prochaine. Charles a précisé dans sa lettre : le mari du couple tient beaucoup à ce que je porte l’uniforme.
Carole
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